Pour souligner les cent ans, en 2013, de la publication de l'oeuvre maîtresse d'Alain (Henri) Fournier, la revue The Economist nous offrait le 22 décembre dernier une brève biographie de cet écrivain. En trois pages, on découvre sa principale source d'inspiration, et on en apprend sur son influence auprès d'auteurs anglophones, comme Henry Miller, F. Scott Fitzgerald et John Fowles. Sa fin tragique, en 1914, alors qu'il n'avait même pas trente ans, laisse place à bien des interrogations et des suppositions sur ce qu'aurait pu être sa contribution d'ensemble à la littérature française. D'ailleurs, la revue nous signale que son livre tombe peut-être en désuétude dans l'enseignement parce qu'il «...doesn't fit into any movement or genre.»
Référence : The Economist, édition du 22 décembre 2012, pages 134 à 136.
Salut Jean-Pierre,
RépondreSupprimerComme tu vois, j'ai bien reçu ton lien.
Je crois bien que je vais emprunter cette édition du 22 déc de The Economist, car j'ai lu Le Grand Meaulnes adolescent et je voudrais bien mieux connaitre son auteur.
L'article sur le Saint Empire Romain m'intéresse aussi. Ca doit être captivant ce parallèle entre Rome et l'UE.
J'ai lu La petite satire, et je lirai d'autres de tes billets au cours des soirées.
Francois
Jean-Pierre,
RépondreSupprimerPuisque tu relèves cet article, j'en déduis que tu es un admirateur du Grand Meaulnes. Je partage cet engouement. Si ce roman est tombé dans l'oubli c'est peut-être parce que le romantisme n'a plus guère la cote.
Jean-Claude C.